Depuis 1980, plusieurs boîtiers – tous de la marque NIKON – ont accompagné le photographe ; ce sont les boîtiers FM , FE , F3 , F4 , F5 successivement , chacun avec leurs lots de perfectionnement ; c’était le temps de la diapositive et de mes préférées : la Kodachrome 64 et la Fujichrome Provia 400 F.
Concernant les objectifs, plusieurs seront revendus, d’autres jalousement gardés ; il est très avantageux d’avoir choisi une marque de matériel qui permet de monter un objectif des années 70 sur un boîtier fabriqué en 2007.
Pendant cette période, le 400 mm f : 5,6 IF – ED laissera un très bon souvenir de par sa compacité et sa très bonne qualité d’image.
Le 600 mm f : 5.6 IF-ED sera juste après le fidèle compagnon du photographe pendant de nombreuses années ; le principal avantage de cet objectif était son poids extrêmement contenu : 2,8 kg , pas plus lourd qu’un 300 mm f : 2,8. Nous sommes à la fin des années 90 ; les premiers objectifs autofocus arrivent sur le marché ; le photographe devra patienter encore quelques années.
Puis, quelques années plus tard, je m’équipais avec les optiques les plus récentes, des téléobjectifs de dernière génération , autofocus et de qualité professionnelle :
– un 300 mm AFS f :4 | – un 500 mm AFS f :4 |
Pour utiliser un 500 mm qui pèse quelque 3,5 kg , un robuste trépied est nécessaire ; j’ai choisi chez Manfrotto un trépied modèle 475 et une tête vidéo 501 HDV.
Nous sommes maintenant fin 2005 ; je me décide enfin à passer à la photo numérique. Le nouveau boîtier Nikon est commandé : c’est le D200. Livrable pour Noël…En fait, je ne le recevrai que fin février ; le fabricant n’arrive pas à suivre les demandes. A la fin du mois de janvier, suite à ma demande, la maison Nikon me prête un boîtier, un D70s, pour me faire patienter ; sympa.
J’ai donc débuté les prises de vues numériques avec un modeste mais excellent boîtier qui m’a permis de me familiariser un peu avec les logiciels de traitement d’images et l’informatique qui va avec.
Actuellement, j’utilise 2 boîtiers D200, qui me donnent entière satisfaction. C’est avec ces appareils que j’ai réalisé bon nombre d’images durant les années 2006 et 2007.
Janvier 2008 : j’ai reçu le nouveau boîtier D300 !! Les premières photos sont prometteuses et confirment le très haut niveau de ce nouveau boîtier.
Août 2010 : le grand jour !! J’ai pu m’offrir le meilleur des boîtiers : un Nikon D3s. Je me réjouis de pouvoir travailler avec ce magnifique boîtier, car il est fait pour les hautes sensibilités et les prises de vues en faible lumière vont être facilitées . Petit exemple: quelques semaines avant de recevoir mon boîtier, j’ai pu photographier l’accouplement des martins-pêcheurs, mais ceci dans des conditions de lumière très difficiles et cependant habituelles au bord de nos rivières à cette saison. Je me couchais sur le 500 pour le stabiliser un max…Avec un D3s, j’aurais gagné 3 à 4 vitesses. Heureusement quelques photos sont nettes et j’ai pu tout de même faire quelques excellentes images; à voir sur le carnet du photographe .
2013 : achat d’un D800
2015 : revente de mon D800 et achat d’un D4 d’occasion
2015 : achat d’un 600 mm f:4, magnifique objet, de très haute qualité, mais lourd et utilisable que dans certaines conditions.
2016 : achat du boîtier D500, tellement attendu. Top boîtier.
2018 : je retourne chez mon photographe et lui rapporte le 600 mm. Un nouveau 500 mm 5.6 de conception nouvelle est arrivé sur le marché: top qualité et de taille comparable au 70 – 200 mm !!
On fait l’affaire.
Mon matos à l’automne 2020.
2022 : les boîtiers hybrides (= sans miroir et avec des viseurs numériques ) font leur apparition. Je rêve d’un boîtier Z9, mais je dois me contenter pour l’instant d’un Z7ii. Le capteur est le même que celui du Z9. Cela fera l’affaire en attendant de pouvoir me payer le boîtier pro.